La fécondation in vitro est une technique d’insémination artificielle qui ne date pas d’hier. En effet, le premier bébé-éprouvette qui a été conçu en France fête ses 30 ans. Pendant ces trois décades, les techniques n’ont cessé de progresser. On voit de plus en plus de naissances de jumeaux grâce à l’implantation de plusieurs embryons pour maximiser les chances de procréation.
Optez pour l’implantation de deux embryons
La stimulation ovarienne permet en effet d’avoir plusieurs ovocytes viables. Afin d’optimiser les chances d’avoir une grossesse, il est d’usage d’implanter plusieurs embryons. En effet, si l’un ne tient pas, un autre devra trouver le moyen de réussir la nidation.
A cette étape de fécondation in vitro, le travail de l’équipe médical est terminé. C’est la nature qui fait le reste. Pour cela, il faut que la patiente soit dans les meilleurs conditions possibles, aussi bien physiques que psychologiques pour que la nidation réussisse.
Évitez toute source de stress
En effet, le stress peut retarder la procréation même chez les parents qui n’ont aucun problème physique apparent. Alors que dire de ceux qui ont d’autres soucis à procréer de façon normale ?
Il faut impérativement éviter le stress et s’épanouir. L’anxiété a de nombreux effets négatifs sur le corps et l’immunité. Il s’est même avéré que le stress affecte la durée de procédure et les chances de tomber enceinte diminuent pour une femme anxieuse et stressée.
Pensez à le faire avant 40 ans
Le facteur âge a aussi une influence sur la concrétisation de la FIV par une naissance vivante. Le taux de réussite dépend lourdement de la qualité des embryons plus qu’autre chose. Être en paix, opter pour la fécondation de deux ou trois embryons sont des éléments à prendre en considération, mais la première chose à vérifier c’est la qualité des embryons à implanter. Lors du recueil des ovules et des spermatozoïdes, l’équipe de biologistes veillent à prendre les plus vaillants.